Découvrez cette Affiche Manon Des Sources,, une histoire signée Marcel Pagnol qui vous transportera dans un monde de beauté naturelle et de drame humain.
- Caractéristique papier :
- 🎨 Canvas : norme mondiale en terme d'impression et imitant un aspect "toile de peinture".
- Par défaut, l'affiche contient une bordure blanche de 4 cm pour l'encadrement (cadre non inclus). Si vous ne la voulez pas, veuillez choisir "sans bordure blanche".
- ✅ Taille : plusieurs choix disponibles. ✅
- Grande résistance aux UVs.
- Éclat des couleurs maximal, sans reflets.
- Papier recyclé, garantissant un respect de l'environnement.
- Affiche emballée soigneusement et livrée dans un tube de protection pour une protection totale.
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⚠️ Cadre non inclus. ⚠️
Description de cette Affiche Manon des Sources
Manon des Sources est un film d'époque en langue française de 1986. Réalisé par Claude Berri, c'est le deuxième des deux films adaptés du roman en deux volumes de 1966 de Marcel Pagnol, qui l'a écrit en se basant sur son propre film du même titre. Il s'agit de la suite de Jean de Florette.
Jean de Florette et Manon des Sources figurent à la 60e place du classement des "100 meilleurs films du cinéma mondial" établi par le magazine Empire en 2010.
Après les événements de Jean de Florette, Manon, la fille de Jean, vit dans la campagne provençale près des Romarins, la ferme que possédait son père. Elle a élu domicile chez un couple de vieux squatters piémontais qui lui apprennent à vivre de la terre, en s'occupant d'un troupeau de chèvres et en chassant les oiseaux et les lapins. Ugolin Soubeyran, dit Galinette (uniquement par son oncle César), s'est lancé avec succès dans la culture d'œillets aux Romarins avec son oncle César Soubeyran, dit Papet, grâce à l'eau de la source qui s'y trouve.
Après l'avoir vue se baigner nue dans les montagnes, Ugolin s'intéresse à Manon. Lorsqu'il s'approche d'elle, elle semble dégoûtée par sa bassesse et presque certainement par le souvenir de son implication dans la chute de son père. Mais l'intérêt d'Ugolin pour Manon devient obsessionnel, jusqu'à coudre un ruban de ses cheveux sur sa poitrine. Parallèlement, Manon s'intéresse à Bernard, un instituteur beau et cultivé récemment arrivé au village. Petite, Manon a souffert de la perte de son père, mort d'un coup à la tête lors de la recherche d'une source d'eau à l'aide d'explosifs. César et Ugolin ont alors racheté la ferme à bas prix à sa veuve - la mère de Manon - et ont débloqué la source. Manon en a été témoin lorsqu'elle était enfant. Les deux hommes ont profité directement de sa mort.
Lorsqu'elle entend deux villageois en parler, Manon comprend que beaucoup de gens dans le village étaient au courant du crime mais n'ont rien dit, car la famille Soubeyran était importante au niveau local. En cherchant une chèvre tombée dans une crevasse au-dessus du village, Manon découvre la source souterraine qui alimente en eau les fermes et le village. Pour se venger des Soubeyrans et des villageois, qui savaient mais n'ont rien fait, elle arrête l'écoulement de l'eau à l'aide de l'argile et des roches contenant de l'oxyde de fer que l'on trouve dans les environs.
Rapidement, les villageois désespèrent de trouver de l'eau pour nourrir leurs cultures et faire tourner leurs entreprises. Ils en viennent à croire que l'écoulement de l'eau a été stoppé par une Providence pour punir l'injustice commise à l'égard de Jean. Manon accuse publiquement César et Ugolin, et les villageois admettent leur propre complicité dans la persécution de Jean. Ils ne l'ont jamais accepté, car il était étranger et physiquement difforme. César tente de se soustraire aux accusations, mais un témoin oculaire, un braconnier qui s'était introduit dans la propriété vacante à ce moment-là, se présente pour confirmer le crime, faisant honte à César et à Ugolin. Ugolin tente désespérément de demander la main de Manon, mais celle-ci le rejette. Les Soubeyrans s'enfuient en disgrâce. Rejeté par Manon, Ugolin se suicide en se pendant à un arbre, mettant apparemment fin à la lignée des Soubeyran.
Les villageois demandent à Manon de participer à une procession religieuse jusqu'à la fontaine du village parce qu'elle est orpheline, espérant que la reconnaissance de l'injustice rétablira l'écoulement de l'eau au village. Avec l'aide de Bernard, Manon débouche la source à l'avance et l'eau arrive au village au moment où la procession atteint la fontaine. Manon épouse Bernard.
Entre-temps, César a été brisé par le suicide de son neveu. Delphine, une de ses anciennes connaissances, revient au village et lui apprend que Florette, son amour de l'époque, lui a écrit pour lui annoncer qu'elle portait leur enfant. Sans réponse de sa part, elle avait tenté d'avorter. Florette a quitté le village, épousé un forgeron de Créspin et l'enfant est né vivant mais bossu.
César, parti faire son service militaire en Afrique, ne reçut jamais sa lettre et ne sut pas qu'elle avait donné naissance à son enfant. Par un cruel coup du sort, Jean, l'homme qu'il a conduit au désespoir et à la mort sans l'avoir rencontré, est le fils qu'il a toujours voulu. Réalisant maintenant qu'elle est de sa famille, César regarde tristement Manon, enceinte, rentrer précipitamment chez elle le soir, souhaitant se réconcilier avec son unique petit-fils, mais sachant que cela n'arrivera jamais.
Dévasté et n'ayant plus la volonté de vivre, César meurt tranquillement dans son sommeil. Dans une lettre, il laisse ses biens à Manon, qu'il reconnaît comme sa petite-fille naturelle et la dernière des Soubeyrans.