Plongez dans l'univers de Henri Verneuil avec cette Affiche Les Morfalous, film avec Jean-Paul Belmondo. Humour, action et émotions fortes garantis ! Découvrez-la maintenant.
- Caractéristique papier :
- 🎨 Canvas : norme mondiale en terme d'impression et imitant un aspect "toile de peinture".
- Par défaut, l'affiche contient une bordure blanche de 4 cm pour l'encadrement (cadre non inclus). Si vous ne la voulez pas, veuillez choisir "sans bordure blanche".
- ✅ Taille : plusieurs choix disponibles. ✅
- Grande résistance aux UVs.
- Éclat des couleurs maximal, sans reflets.
- Papier recyclé, garantissant un respect de l'environnement.
- Affiche emballée soigneusement et livrée dans un tube de protection pour une protection totale.
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⚠️ Cadre non inclus. ⚠️
Description de cette Affiche Les Morfalous
Les Morfalous est un film d'aventure français de 1984, interprété par Jean-Paul Belmondo et réalisé par Henri Verneuil, mettant en scène la Légion étrangère française pendant la Seconde Guerre mondiale.
Il s'agit d'un remake du film de guerre américain Kelly's Heroes (1970).
En Tunisie française, pendant la Seconde Guerre mondiale, un convoi de la Légion étrangère française est chargé de récupérer des lingots d'or d'une valeur de six milliards de francs dans une banque d'El Ksour afin de les mettre en lieu sûr pour le gouvernement français.
Le 5 avril 1943, un contingent de la Légion étrangère pénètre dans la ville d'El Ksour, apparemment abandonnée et partiellement détruite. À leur insu, une section allemande tient la ville et tend une embuscade au convoi des FFL, tuant la plupart d'entre eux. Seuls cinq légionnaires survivent à l'attaque et se réfugient dans un hôtel en ruines.
La nuit, le légionnaire Borzik part avec l'adjudant Mahuzard (Michel Constantin) récupérer des armes et des munitions. Mais Borzik est tué.
Les légionnaires restants sont le sergent Augagneur (Jean-Paul Belmondo) et Boissier (Michel Creton). Ils trouvent l'artilleur Béral (Jacques Villeret), corpulent et pusillanime, assis dans les toilettes, souffrant de dysenterie.
Béral et Augagneur se faufilent alors et utilisent un obusier sur les Allemands, les tuant tous à l'exception du capitaine Karl Brenner.
Les légionnaires entrent dans la banque. Augagneur et Boissier veulent s'emparer de l'or, mais Mahuzard souhaite poursuivre la mission initiale. Un combat s'engage entre Mahuzard et Augagneur. Augagneur gagne et enferme Mahuzard dans une pièce, alors que le directeur de la banque arrive, François de La Roche-Fréon.
Augagneur tente alors de séduire Hélène, la femme de François. Ils sont interrompus par le lieutenant allemand Karl, qui arrive dans un char d'assaut. Karl s'est lié d'amitié avec Hélène pendant l'occupation. Helen aide Augagneur à capturer Karl et suggère qu'ils prennent l'or et le vendent à un blanchisseur américain, Bob Turner, et le divisent en trois.
Pendant ce temps, dans la banque, Mahuzard convainc Béral de le libérer. Il capture Augagneur et Karl à leur retour et les enferme dans une chambre forte avec Bossier.
Mahuzard dîne avec le directeur de la banque et sa femme, qui vole la clé du coffre. Hélène libère Augagneur, Boissier et Karl. Ils reviennent avec le char surprendre Mahuzard et Béral qui viennent de terminer le chargement de l'or dans un fourgon blindé et s'apprêtent à partir. Entre-temps, François s'est électrocuté à mort en urinant sur un fil sous tension.
Augagneur envoie Boissier s'emparer du fourgon. Mahuzard abat Boissier. Karl tire sur le char et détruit complètement le fourgon contenant l'or, tuant Mahuzard et Béral sur le coup.
Hélène tente de convaincre Augagneur de tuer Karl, mais celui-ci refuse. Karl révèle également qu'Hélène lui a fait la même proposition contre Augagneur. Les deux ex-soldats chargent alors le gros des lingots dans le camion, ne laissant que 300 kilos d'or à Hélène tandis qu'ils en prennent 10 000.
Augagneur et Karl se dirigent vers le sud avec le char pour vendre l'or, mais doivent s'arrêter à une station-service allemande pour faire le plein. Karl persuade Augagneur de quitter le char pour ne pas être repéré. Le commandant allemand veut le char. Augagneur s'échappe dans le désert et doit abandonner l'or.
Le film se termine par une citation de Blaise Cendrars : "J'étais l'homme le plus riche du monde, l'or m'a ruiné. "