Découvrez le chef-d'œuvre cinématographique de Jean-Pierre Melville ave cette Affiche Le Samouraï. Plongez dans l'univers mystérieux et captivant du film avec cette représentation graphique évocatrice et laissez-vous transporter par l'atmosphère intense et envoûtante de ce classique du cinéma noir français.
- Caractéristique papier :
- 🎨 Canvas : norme mondiale en terme d'impression et imitant un aspect "toile de peinture".
- Par défaut, l'affiche contient une bordure blanche de 4 cm pour l'encadrement (cadre non inclus). Si vous ne la voulez pas, veuillez choisir "sans bordure blanche".
- ✅ Taille : plusieurs choix disponibles. ✅
- Grande résistance aux UVs.
- Éclat des couleurs maximal, sans reflets.
- Papier recyclé, garantissant un respect de l'environnement.
- Affiche emballée soigneusement et livrée dans un tube de protection pour une protection totale.
-
LIVRAISON STANDARD OFFERTE.
⚠️ Cadre non inclus. ⚠️
Description de cette Affiche Le Samourai
Le Samouraï , est un film policier néo-noir franco-italien de 1967[6] écrit et réalisé par Jean-Pierre Melville avec Alain Delon, François Périer, Nathalie Delon et Cathy Rosier. Il met en scène les parcours croisés d'un tueur à gages professionnel (Delon) qui cherche à savoir qui l'a engagé pour un travail et a ensuite tenté de le faire tuer, et du commissaire parisien (Périer) qui tente de l'attraper.
Le film est sorti le 25 octobre 1967 et a fait plus de 1,9 million d'entrées en France. Il a reçu des critiques positives, en particulier pour le scénario et la mise en scène atmosphérique de Melville, ainsi que pour l'interprétation de Delon.
Jef Costello, tueur à gages impassible, vit dans un appartement parisien d'une seule pièce et garde un petit oiseau en cage comme animal de compagnie. Son mode opératoire méthodique consiste à se créer des alibis en béton, y compris ceux fournis par son amante, Jane. Après avoir tué Martey, le propriétaire d'une boîte de nuit, Jef est très clairement vu en train de quitter les lieux par Valérie, la pianiste de la boîte, et aperçu par plusieurs autres témoins. La police fait venir de nombreux suspects, dont Jef, pour une séance d'identification, mais les témoins ne parviennent pas à s'entendre sur une identification.
Jef est relâché, mais le commissaire a l'intuition qu'il est le coupable et le fait suivre. Il perd la filature et va chercher ses honoraires pour le coup, mais au lieu de le payer, l'homme qu'il rencontre tente de le tuer, lui tirant une balle dans le bras, et Jef se rend compte que ses employeurs inconnus le considèrent désormais comme un boulet parce qu'il est suspecté du meurtre de Martey. Après avoir soigné sa blessure, Jef retourne à la boîte de nuit. Pendant son absence, deux policiers s'introduisent dans sa chambre, agitant l'oiseau dans sa cage.
Après la fermeture de la boîte de nuit, Jef demande à Valérie de l'emmener chez elle, arguant qu'elle a dit à la police qu'il n'était pas l'assassin parce que son employeur le lui avait demandé. Il lui demande de lui dire qui l'a engagé, et elle lui dit de l'appeler dans deux heures. Pendant ce temps, la police fouille l'appartement de Jane, disant qu'ils la laisseront tranquille si elle retire son alibi pour Jef, mais elle rejette catégoriquement l'offre.
De retour à son appartement, Jef remarque des plumes éparpillées dans la cage de son oiseau, comme s'il s'était agité pendant son absence. Soupçonnant une intrusion, il trouve le mouchard et le désactive, puis se rend à un téléphone public pour appeler Valérie, qui ne répond pas. De retour chez lui, il tombe dans une embuscade tendue par l'homme qui lui a tiré dessus. Sous la menace de son arme, l'homme propose un nouveau départ et paie Jef pour le contrat de Martey, ainsi que pour un autre à venir. Jef maîtrise l'homme et le force à révéler l'identité de son patron, Olivier Rey, avant de s'enquérir du nouveau contrat.
Des dizaines de policiers en civil tentent de prendre Jef en filature dans le métro, mais il parvient à les semer. Il rend visite à Jane et lui assure que tout va s'arranger, puis se rend en voiture chez Rey, où vit Valérie, qui n'est pas chez elle à ce moment-là. Jef tue Rey et retourne à la boîte de nuit, sans chercher à dissimuler sa présence. Il vérifie son chapeau, mais laisse son ticket de vérification sur le comptoir, et enfile les gants blancs qu'il porte pour exécuter ses coups, à la vue de tous, avant de s'approcher de la scène où se produit Valérie. Elle lui conseille tranquillement de partir, mais il sort un pistolet et le pointe sur elle. Étrangement sans crainte, elle lui demande pourquoi il fait cela et il lui répond qu'il a été payé pour le faire. Soudain, Jef est abattu de quatre balles par des policiers qui l'attendaient. Lorsque le commissaire inspecte l'arme de Jef, il s'aperçoit qu'elle ne contient aucune balle.