Découvrez cette splendide Affiche du Film Ridicule de Patrice Leconte, œuvre culte du cinéma qui a remporté plus de 4 Césars .
- Caractéristique papier :
- 🎨 Canvas : norme mondiale en terme d'impression et imitant un aspect "toile de peinture".
- Par défaut, l'affiche contient une bordure blanche de 4 cm pour l'encadrement (cadre non inclus). Si vous ne la voulez pas, veuillez choisir "sans bordure blanche".
- ✅ Taille : plusieurs choix disponibles. ✅
- Grande résistance aux UVs.
- Éclat des couleurs maximal, sans reflets.
- Papier recyclé, garantissant un respect de l'environnement.
- Affiche emballée soigneusement et livrée dans un tube de protectionpour une protection totale.
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⚠️ Cadre non inclus. ⚠️
Ridicule est un film français de 1996, réalisé par Patrice Leconte, avec Charles Berling, Jean Rochefort, Fanny Ardant et Judith Godrèche. Le film se déroule au XVIIIe siècle à la cour décadente de Versailles, où le statut social peut s'élever ou s'abaisser en fonction de la capacité d'une personne à distribuer des insultes pleines d'esprit et à éviter de se ridiculiser. L'intrigue du film examine les injustices sociales de la France de la fin du XVIIIe siècle, en montrant la corruption et l'insensibilité des aristocrates.
Dans la Dombes, une région marécageuse au nord de Lyon, le baron Grégoire Ponceludon de Malavoy est un petit aristocrate et ingénieur. Il est l'un des rares aristocrates à se préoccuper du sort des paysans. Horrifié par la maladie et la mort causées par les moustiques qui infestent les marais, il souhaite les assécher ; il se rend à Versailles dans l'espoir d'obtenir l'aval du roi Louis XVI. Juste avant d'arriver à Versailles, Ponceludon est volé et battu. Il est retrouvé par le marquis de Bellegarde, un petit noble et médecin. Alors que Ponceludon se rétablit chez le marquis, Bellegarde le prend sous son aile et lui enseigne l'esprit, principal moyen de se faire une place à la cour. Au début, le milieu provincial de Ponceludon fait de lui une cible dans les fêtes et les réunions, même s'il se révèle être un adversaire redoutable dans les joutes verbales.
Lors d'une de ces fêtes, il surprend l'abbé de Vilecourt en train de tricher à un jeu d'esprit, avec l'aide de son amante, Madame de Blayac, la belle et riche veuve récente de Monsieur de Blayac, qui devait être le parrain de Ponceludon à la cour. Blayac le remercie de sa générosité en ne les exposant pas et en organisant la certification de sa lignée, permettant ainsi à son procès de se poursuivre. Malgré son succès, Ponceludon commence à voir que la cour de Versailles est corrompue et vide.
La seule exception est Mathilde de Bellegarde, la fille du médecin. Elle a accepté d'épouser Monsieur de Montaliéri, un riche et vieil aristocrate dont la femme est mourante. Sa motivation est double : soutenir ses expériences scientifiques et aider à payer les dettes de son père. Ponceludon commence à l'aider dans ses expériences. Montaliéri observe leur attirance croissante l'un pour l'autre. Plus tard, Montaliéri dit à Ponceludon qu'il devrait attendre, car il ne vivra probablement pas très longtemps, et Mathilde serait une riche veuve. Même si Mathilde avoue qu'elle redoute son prochain mariage, Ponceludon ne veut pas qu'elle devienne l'épouse d'un homme pauvre.
Un jour, un sourd-muet nommé Paul court à travers les bois en portant le costume de plongée de Mathilde et effraie Madame de Blayac. Blayac demande à Bellegarde de le renvoyer. Bellegarde envoie le garçon chez l'abbé de l'Épée, un éducateur pionnier des sourds. Mathilde rend visite à Madame de Blayac et plaide sans succès pour Paul. Madame de Blayac pressent un rival pour Ponceludon. Pendant ce temps, Vilecourt s'inquiète du succès de Ponceludon et Madame de Blayac promet de le faire tomber. Madame de Blayac piège Ponceludon lors d'un dîner (avec son complice Montaliéri) où un invité de trop a été convié. Un concours d'esprit permet de départager celui qui doit effectuer un départ humiliant. Distrait par Blayac, Ponceludon perd et est convaincu que sa disgrâce l'obligera à quitter la cour. Cependant, il se rappelle la raison de son départ lorsqu'un enfant du village meurt après avoir bu de l'eau contaminée. Pendant ce temps, Mathilde apparaît à la cour, rompant les termes de son contrat de fiançailles.
Vilecourt obtient finalement une audience avec le roi, mais commet une gaffe en blasphémant accidentellement contre Dieu dans une tentative de faire de l'esprit, et Blayac tourne son attention vers Ponceludon, le convainquant de retourner à Versailles. Il couche avec elle en échange de son aide ; elle organise une rencontre avec le roi. Elle fait malicieusement assister Bellegarde en sa qualité de médecin alors que Ponceludon est encore avec elle, afin que Mathilde apprenne leur relation.
Lors d'une présentation à la cour du travail de l'abbé de l'Épée auprès des sourds et du développement de la langue des signes, les nobles se moquent impitoyablement des sourds. Cependant, certains nobles changent d'avis lorsque les sourds font la démonstration de leur propre forme d'esprit : les jeux de mots en langue des signes. En réponse, de Bellegarde se lève et demande comment on signe "bravo", ce qui amène Ponceludon à se lever et à applaudir pour montrer son soutien. Mathilde est touchée, et ils se réconcilient rapidement.
Ponceludon rejoint l'entourage du roi et, après avoir montré ses prouesses d'ingénieur en proposant une amélioration d'un canon, il obtient un entretien privé avec le roi pour discuter de son projet. Le canonnier embarrassé insulte alors Ponceludon, le forçant à demander un duel. Madame de Blayac ne parvient pas à le persuader d'éviter le duel. Il tue le canonnier et apprend que le roi ne peut pas rencontrer quelqu'un qui a tué un de ses officiers juste après sa mort, bien qu'il soit assuré qu'il était juste de défendre son honneur.
Madame de Blayac est furieuse lorsqu'elle apprend que Ponceludon l'a quittée pour Mathilde et prépare sa vengeance. Ponceludon est invité à un bal costumé "réservé aux esprits". En arrivant au bal avec Mathilde, il est poussé à danser avec Blayac et trébuche. Sa chute spectaculaire lui vaut le surnom dérisoire de "Marquis des Antipodes" par Milletail. Ponceludon arrache son masque et condamne leur décadence. Il leur dit qu'ils se classent parmi les Voltaire à cause de leur esprit, mais qu'ils n'ont pas la compassion de Voltaire. Il jure d'assécher le marécage par lui-même et quitte la cour avec Mathilde. Madame de Blayac enlève son masque et pleure en silence.
En 1794, à Douvres, en Angleterre, Bellegarde a fui la Révolution française. Le texte à l'écran indique que Grégoire et Mathilde Ponceludon ont réussi à assécher la Dombes et vivent dans la France révolutionnaire.